Le rapport RSE est devenu un outil incontournable pour les entreprises qui souhaitent démontrer leur engagement en faveur du développement durable. Au-delà des obligations légales, il s’agit d’un véritable levier de transparence et de dialogue avec les parties prenantes. Dans un contexte où consommateurs et investisseurs exigent plus de responsabilité sociétale et environnementale, comprendre les enjeux et les bonnes pratiques d’un rapport RSE s’avère essentiel pour toute entreprise désireuse de se démarquer et d’agir concrètement pour la planète et la société. Découvrez comment structurer ce document stratégique et inspirez-vous d’entreprises qui montrent la voie.

Qu’est-ce qu’un rapport RSE ?

Définition et Contexte

On appelle rapport RSE le rapport de Responsabilité Sociétale des Entreprises (RSE), aussi désigné par le terme de déclaration de performance extra-financière. Ce document est clé pour les entreprises engagées dans une démarche de réduction de leurs impacts et de développement durable…. Si tant est que l’on puisse encore utiliser cette notion, de plus en plus critiquée par les experts de l’environnement.

Le rapport RSE détaille les actions menées pour répondre aux enjeux environnementaux, sociaux et de gouvernance propres à son activité. Les entreprises y montrent leur engagement vis-à-vis de leurs parties prenantes :

  • Employés.
  • Clients.
  • Partenaires / fournisseurs.
  • Investisseurs.
  • Société civile, notamment par le prisme des communautés qui sont impactées par leur activité.
  • Et last but not least (clairement) environnement.

Où publier le rapport RSE ?

Le rapport RSE doit être rendu accessible au plus grand nombre. Les entreprises le publient sur leur site Internet. Certaines l’envoient par e-mail à leurs investisseurs et partenaires pour s’assurer qu’ils aient connaissance de son existence. La publication du rapport RSE s’accompagne, dans l’idéal, de communications internes et externes pour inciter les parties prenantes de l’entreprise à le parcourir.

Quel cadre légal en France et en Europe pour le rapport RSE ?

En France, la loi Grenelle II de 2010 impose aux entreprises cotées et à certaines grandes entreprises de publier des informations RSE dans leur rapport de gestion. Cette législation vise à intégrer les défis sociaux et environnementaux dans les activités des entreprises et à encourager une gestion plus responsable.

Au niveau européen, la Directive 2014/95/UE, connue sous le nom de Directive sur le reporting non financier, oblige les entreprises de plus de 500 employés à divulguer des informations sur la manière dont elles gèrent les enjeux sociaux, environnementaux et de gouvernance. Cette directive vise à améliorer la transparence et la comparabilité des informations non financières. Au-delà de la conformité réglementaire, un rapport RSE bien structuré contribue à améliorer l’image des entreprises. Il renforce la confiance de leurs parties prenantes et à se démarquer en tant qu’entreprise responsable et engagée. L’aspect légal incite les entreprises à intégrer les enjeux du développement durable (mot à prendre avec des pincettes, vous l’aurez compris) dans leur stratégie globale. Mais aussi à mesurer et à rendre compte de leur performance en matière de responsabilité sociale et environnementale.

Quels sont les objectifs d’un rapport RSE ?

La publication annuelle d’un rapport RSE a pour objectif d’encourager la transparence et la volonté d’amélioration continue des entreprises. Il vise à informer les parties prenantes des actions réelles menées par l’entreprise en établissant des KPI clairs suivis dans le temps. Par exemple, la réduction des gaz à effet de serre, les achats plus responsables, la lutte contre la corruption, la promotion des droits humains, etc. Face aux défis environnementaux et sociétaux de notre époque, la publication d’un rapport RSE est désormais obligatoire pour certaines entreprises. Pour d’autres, non concernée par la loi, elle reste conseillée : publier un rapport RSE démontre une volonté d’être transparent et de progresser.

4 bonnes raisons de publier son rapport RSE

Il y a la loi, et il y a la volonté de faire bouger les lignes. Certaines entreprises décident d’établir un rapport RSE sans y être obligées. Le travail de collecte et de consolidation des informations nécessaires à sa publication oblige à mettre à plat ses actions. Établir un rapport RSE nécessite en effet de s’interroger en profondeur sur l’ensemble de sa chaîne de valeur, depuis les sous-traitants et le sourcing des matières premières, jusqu’à la fin de vie (ou la seconde vie !) de ses produits ou services. Cela permet d’identifier des points d’amélioration concrets et de les prioriser.

Engagement sociétal et environnemental

Le rapport RSE permet aux entreprises de démontrer leur engagement envers la société et l’environnement. En publiant un rapport détaillé sur leurs initiatives RSE, les entreprises montrent qu’elles prennent au sérieux les enjeux environnementaux et sociétaux. Ainsi, Patagonia, entreprise certifiée B CorpTM, le label aujourd’hui considéré comme le plus exigeant en matière de respect de l’humain et de l’environnement, utilise son rapport RSE pour détailler ses efforts en matière de protection de l’environnement, notamment à travers des initiatives de recyclage et de réduction de l’empreinte carbone. Il permet aussi à des entreprises de se positionner comme leader face aux enjeux sociétaux et environnementaux. Leur rapport RSE constitue en effet une possible source d’inspiration pour des organisations du même secteur qui cherchent des solutions pour s’améliorer, sans savoir où commencer.

Répondre aux attentes des parties prenantes

Les parties prenantes, clients, employés, investisseurs ou société civile, attendent aujourd’hui des entreprises qu’elles soient transparentes et responsables. Un rapport RSE bien conçu leur fournit des informations claires et précises sur les actions menées et les résultats obtenus.

Il montre comment l’entreprise s’efforce de créer un impact positif et de réduire les impacts négatifs liés à son activité. Par exemple, Danone, également certifiée B CorpTM, utilise son rapport RSE pour expliquer ses engagements en matière de santé et de nutrition, mais aussi de protection de l’environnement et pour le bien-être de ses salariés.

À lire aussi : RSE, les 6 fondamentaux d’un management responsable

Réputation et compétitivité

Un rapport RSE peut améliorer la réputation d’une entreprise et renforcer sa compétitivité. Les consommateurs sont de plus en plus attentifs aux pratiques durables des entreprises et privilégient celles qui démontrent un réel engagement. Un rapport RSE transparent et détaillé peut donc attirer de nouveaux clients et fidéliser ceux existants. Par exemple, Ben & Jerry’s, autre entreprise certifiée B CorpTM, met en avant dans son rapport RSE ses initiatives pour promouvoir l’égalité, lutter contre le changement climatique et soutenir les communautés locales.

Conformité aux Normes et Régulations

Au-delà des exigences légales, le rapport RSE permet aux entreprises de se conformer aux normes internationales. Elles peuvent suivre les lignes directrices de la Global Reporting Initiative (GRI) ou de l’ISO 26000. Ces référentiels offrent un cadre structuré au reporting RSE et les aident entreprises à mesurer et à améliorer leur performance. La conformité à ces normes renforce leur crédibilité de l’entreprise, leur compétitivité, notamment à l’international, et montre leur engagement à long terme en faveur du développement durable.

Comment structurer votre rapport RSE ?

Pour les entreprises qui se lancent dans cette démarche ou qui souhaitent améliorer leurs documents existants, voici les incontournables pour bien construire votre rapport RSE. Il doit présenter clairement les actions et résultats de l’entreprise en matière de responsabilité sociétale et environnementale, en suivant le type de sommaire ci-dessous. S’il est bien conçu, ce rapport devient un outil puissant pour renforcer la confiance de vos parties prenantes et promouvoir une image positive et engagée de l’entreprise.

Introduction

Commencez par une introduction qui présente la vision globale et la stratégie RSE de l’entreprise. Expliquez pourquoi la RSE est importante pour l’entreprise et comment elle s’intègre dans ses activités globales. Cette introduction peut se présenter sous forme :

  • D’éditorial signé par l’un des membres du codir.
  • D’une interview croisée du CEO / chef d’entreprise et de la direction RSE.
  • De chiffres clés organisés de manière à visualiser en un clin d’œil les leviers d’actions principaux de l’entreprise.
  • Etc.

Pensez à intégrer un sommaire. Les futurs lecteurs du rapport s’y retrouveront mieux dans les différentes parties et iront directement à celles qui les intéressent le plus.

Modèle d’affaires

Cette partie complète l’introduction et situe l’entreprise dans son secteur d’activités. En plus de donner des informations sur les marques du groupe, le nombre de salariés et les implantations géographiques, elle explique :

  • Où sont situés les sites de production de l’entreprise.
  • Comment elle gère sa ligne de production de produits et / ou services.
  • Les étapes logistiques de sa chaîne de production.
  • Les points de contact avec ses clients.
  • La fin de vie de ses produits et/ou services.

Voici un exemple d’un schéma de modèle d’affaires réalisé dans le rapport RSE 2022 de la marque Kiabi.

Source : Rapport RSE 2022, groupe Kiabi

Gouvernance et engagement des parties prenantes

Décrivez la structure de gouvernance de l’entreprise en matière de RSE. Indiquez qui est responsable de la mise en œuvre des initiatives RSE et comment les décisions sont prises. La partie dédiée à la gouvernance doit aussi expliquer le fonctionnement des comités de gouvernance et les processus de reporting en place. Enfin, détaillez ici les politiques éthiques de l’entreprise : lutte contre la corruption, charte d’achats responsables, actions de mécénat, etc.

Expliquez aussi dans cette partie comment l’entreprise engage les parties prenantes dans sa démarche RSE. Décrivez les méthodes de dialogue et d’implication (sondages, comités, etc.), ainsi que les résultats de ces interactions. Patagonia utilise ainsi des enquêtes et des forums pour recueillir les attentes de ses parties prenantes et adapter ses initiatives.

Performance environnementale

Cette section est au cœur du rapport RSE. Elle doit détailler les actions concrètes de l’entreprise en matière de protection de l’environnement, voire de régénération de l’environnement. On y intègre a minima les informations suivantes :

  • Bilan carbone, s’il a été réalisé.
  • Initiatives pour réduire les gaz à effet de serre dans les différents scopes de l’entreprise. Par exemple, le choix du transport en bateau ou train plutôt qu’en avion, la réduction de la flotte automobile de l’entreprise, le choix de matières premières moins polluantes, etc.
  • Les dispositions pour la fin de vie ou la seconde vie des produits, comme leur recyclage ou leur réemploi.
  • Choix des matières premières utilisées pour la fabrication.
  • Formations déployées en interne pour faire progresser les mentalités sur les sujets environnementaux.
  • Mode de gestion des déchets générés par les activités de l’entreprise.
  • Les partenariats noués avec des associations ou organisation de défense de l’environnement.
  • Actions de décarbonation des activités : choix de bureaux moins énergivores, encouragement à la mobilité douce, choix de s’approvisionner en énergies,
  • Etc.

On peut y ajouter la réduction voire la suppression de produits chimiques dans le processus de production, les audits environnementaux menés auprès des fournisseurs, les efforts d’éco-conception, la localisation des serveurs informatiques. Toutes les actions de l’entreprise qui impactent l’environnement de manière moins négative, voire positive, doivent y figurer.  

Le périmètre de cette partie varie selon le secteur de l’entreprise. Elle se doit d’être exhaustive pour valoriser tous les efforts et actions, qui nécessitent parfois un changement du modèle d’affaires ou de fournisseurs.

Performance sociale et sociétale

Cette partie, tout aussi essentielle que celle sur l’environnement, expose les actions de l’entreprise en faveur :

  • Du bien-être.
  • De la sécurité.
  • De la santé.
  • De lutte contre les discriminations.
  • D’inclusion.
  • De parité.
  • De respect du droit du travail.

Auprès de ses employés mais aussi de ses parties prenantes, fournisseurs et clients. Par exemple, Danone y met en avant ses programmes de santé et de nutrition destinés à ses employés, ainsi qu’aux communautés locales autour de ses sites de production. On liste aussi dans cette partie les audits menés auprès des fournisseurs, afin de s’assurer que le droit du travail et les droits humains sont bien respectés tout au long de la chaîne de valeur.

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Rapport RSE et charte RSE, quelles différences ?

On confond parfois le rapport RSE, aussi appelé Déclaration de Performance Extra-Financière, avec la charte RSE. Pourtant, hormis le terme RSE, ces deux documents n’ont rien à voir.

Définition de la charte RSE

La charte RSE est un document d’engagement où l’entreprise exprime ses principes et valeurs en matière de responsabilité sociétale et environnementale. Elle établit les lignes directrices que l’entreprise s’engage à suivre pour intégrer la RSE dans toutes ses activités. C’est un document déclaratif, souvent plus court et moins détaillé qu’un rapport RSE, destiné à présenter les engagements de l’entreprise de manière transparente et accessible. Wojo, par exemple, présente ses engagements RSE, ses principales actions et les enseignements de son bilan carbone dans une charte destinée à ses employés, synthétisée dans cette page destinée au grand public et aux clients.

Définition du Rapport RSE

Le rapport RSE, quant à lui, est un document beaucoup plus détaillé et structuré. Il rend compte des actions concrètes, des résultats obtenus et des performances de l’entreprise en matière de RSE sur une période donnée, généralement une année. Ce rapport répond aux attentes des parties prenantes en fournissant des informations précises et mesurables sur les initiatives RSE et leur impact.

Pourquoi il ne faut pas confondre charte RSE et rapport RSE ?

La distinction entre la charte RSE et le rapport RSE est essentielle pour comprendre comment une entreprise communique ses engagements et ses résultats en matière de responsabilité sociétale et environnementale. La charte RSE sert de déclaration d’intention et de cadre de référence, tandis que le rapport RSE fournit une évaluation détaillée et quantifiable des progrès réalisés.

En combinant ces deux outils, les entreprises peuvent non seulement définir clairement leurs ambitions en matière de développement durable, mais aussi démontrer de manière transparente les actions concrètes qu’elles entreprennent pour atteindre ces objectifs.

Les différences entre charte RSE et rapport RSE en un clin d’œil

Charte RSE

  • Objectif : Présenter les engagements de l’entreprise en matière de RSE.
  • Contenu : Principes et valeurs, lignes directrices, objectifs à long terme.
  • Public : Parties prenantes internes et externes, souvent utilisé à des fins de communication.

Rapport RSE

  • Objectif : Rendre compte des actions et des performances RSE, assurer la transparence et répondre aux obligations légales.
  • Contenu : Actions concrètes, résultats obtenus, indicateurs de performance, engagement des parties prenantes, conformité aux normes et régulations.
  • Public : Parties prenantes internes et externes, régulateurs, investisseurs et clients.

Quelques exemples d’entreprises françaises engagées et inspirantes

Réfléchir à votre rapport RSE vous amène à vous interroger sur comment faire rimer rentabilité et responsabilité ? Voici des entreprises françaises montrent la voie avec des bonnes pratiques applicables dans de nombreux secteurs.

Camif

Camif, entreprise française spécialisée dans la vente de mobilier et d’équipements pour la maison, se distingue par son engagement fort en matière de développement durable et de responsabilité sociétale. Voici quelques-unes de leurs bonnes pratiques RSE :

  • Fabrication locale et durable : Camif privilégie les fournisseurs locaux et favorise les circuits courts pour réduire son empreinte carbone. Plus de 78 % de ses produits sont fabriqués en France.
  • Transparence et traçabilité : L’entreprise met à disposition de ses clients des informations détaillées sur l’origine des matériaux et les conditions de fabrication de ses produits.
  • Impact environnemental : Camif s’engage à minimiser son impact environnemental en proposant des produits éco-conçus et en adoptant des pratiques de recyclage pour ses emballages. Camif a aussi mis en place un nouveau modèle de location longue durée de mobilier plutôt que d’achat, pour produire moins et allonger le cycle de vie de ses produits.

Sézane

Sézane, marque française de mode, intègre la RSE au cœur de ses activités avec des initiatives axées sur la durabilité, l’éthique et la transparence :

  • Matériaux responsables : Sézane utilise des matériaux durables et écoresponsables pour la fabrication de ses vêtements. L’entreprise s’engage à augmenter chaque année la part de matériaux recyclés et biologiques dans ses collections.
  • Programme « Demain » : Ce programme de philanthropie lancé par Sézane finance des projets éducatifs et environnementaux, avec une partie des ventes reversée à des associations partenaires.
  • Transparence et engagement : Sézane publie un rapport RSE détaillant ses engagements et ses progrès en matière de durabilité, de conditions de travail équitables et de réduction de l’empreinte carbone, tout en expliquant les axes sur lesquelles la marque veut encore s’améliorer.

Too Good to Go

Too Good to Go, application française de lutte contre le gaspillage alimentaire, propose des solutions innovantes pour réduire le gaspillage et sensibiliser le public :

  • Réduction du gaspillage alimentaire : Par son business model même, Too Good To Go contribue de manière positive à la société et la réduction des impacts sur l’environnement. L’application permet aux commerçants de vendre leurs invendus à prix réduits, contribuant ainsi à diminuer le gaspillage alimentaire.
  • Sensibilisation et éducation : Too Good to Go mène des campagnes de sensibilisation pour encourager les comportements responsables et lutter contre le gaspillage à tous les niveaux de la chaîne alimentaire.
  • Engagement communautaire : L’entreprise collabore avec des associations et des acteurs locaux pour maximiser l’impact de ses actions et soutenir les initiatives locales de lutte contre le gaspillage.

Quels labels et certifications privilégier ?

Les entreprises citées ci-dessus sont souvent certifiées par des labels RSE qui attestent de leur engagement en matière de responsabilité sociétale et environnementale :

  • B CorpTM : Patagonia, Camif, Too Good To Go, Sézane et bien d’autres sont certifiées B CorpTM, une certification internationale qui reconnaît les entreprises répondant à des standards très élevés de performance sociale et environnementale, de transparence et de responsabilité. B CorpTM est considéré par beaucoup comme un bon outil d’amélioration continue : les entreprises qui souhaitent rester B CorpTM doivent repostuler tous les trois ans et montrer des progrès dans les différents scopes de leurs activités. Il s’agit toutefois d’un label nécessitant une mobilisation importante de l’entreprise pour l’obtenir.
  • Global Reporting Initiative (GRI) : Ces entreprises suivent souvent les lignes directrices de la GRI pour structurer leurs rapports RSE et garantir la transparence de leurs informations.

Le mot de la fin

Le rapport RSE est bien plus qu’un simple outil de conformité. Il constitue un levier stratégique pour les entreprises visant un avenir durable. En adoptant des pratiques responsables et en communiquant de manière transparente, elles répondent aux attentes croissantes de leurs parties prenantes et se distinguent comme leaders du changement positif. Les exemples de Camif, Sézane et Too Good to Go montrent qu’il est possible de conjuguer performance économique et responsabilité sociétale. L’avenir appartient aux entreprises qui intègrent ces valeurs au cœur de leur stratégie, car elles anticipent dès aujourd’hui les défis de demain en matière de raréfaction des ressources et de réchauffement climatique.

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